En premier lieu, j’aime dans cet hyper l’initiative locale. Avec peu, l’hyper parvient à se doter d’aspérités (la boutique déco à l’entrée en est une). Et, ce, sans totalement s’émanciper des concepts de l’enseigne. Le meilleur exemple ? La cave à vins. Pas si éloignée que ça du standard Auchan mais réellement différente et proposant de fait une expérience d’achat améliorée, sans pour autant se ruiner en actifs. Autres exemples d’initiative locale : l’espace bio ou (même si c’est un détail en apparence) une présentation autrement plus attractive des affiches promos, par exemple ci-dessous à la poissonnerie.
Second point positif (en tous les cas à mes yeux) : “l’humanisation”, en clair l’incarnation des métiers par les hommes et les femmes concernés. Le tout très harmonieusement réalisé avec une uniformité de style dans les prises de vue. Réussi !
Réussies aussi la dramatisation et la massification des promos. Toujours un préalable pour doper la commercialité d’un magasin.
Enfin, pour donner de la valeur à l’offre, l’hyper explique (le cas des vins bio pour justifier leur prix) ou met en avant (les brèches dans les gondoles).
Du coup, Jean-Luc (oui, je connais le maître des lieux et l’apprécie), si en plus tu fais les mariages, baptêmes et communions, je me demande si, le jour venu, je ne me tournerai pas vers toi tellement je suis sous le charme 😉